La Confrérie des Pirates
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La Confrérie des Pirates

Quatre navires unis comme les cinq doigts de la main
 
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 Description détaillée des navires de la confrérie

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Ajirak

Ajirak


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Equipage : Solstheim
Date d'inscription : 01/03/2006

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MessageSujet: Description détaillée des navires de la confrérie   Description détaillée des navires de la confrérie Empty18.10.06 13:04

Le solstheim

(description réalisée par Belletrogne)

Sur le ponton de Ratchet, vous attendez la navette pour la Baie du Butin. Le soleil assommant vous fait bouillir le crâne… Les Tarides sont impitoyables pour qui n'a pas mis son couvre chef.

Mais soudain, une tache sombre, apparaît à l'horizon. Elle se rapproche, on dirait un nuage noir et opaque, une vision terrifiante sous ce soleil de plomb. C'est un orage, terrible, glacé qui s'avance vers la côte. Mais autour de vous les gobelins ne sourcillent pas. A vrai dire ils semblent n'avoir pas même remarqué qu'un maelström s'apprête à engloutir la ville.

Dans votre panique, vous en chopez un, et le secouez dans tous les sens en lui hurlant :

- "Mais bougre d'crétin d'gob ! Tu vois pas c'qui nous arrive dessus ou quoi ?!"

Un Cogneur s'approche, tâtant avec impatience sa masse d'armes, un sourire carnassier aux lèvres.
- "Un problème, m'sieur Fitzback? lache t'il à celui que vous portez à bout de bras,
- "Nan, c'est rien, Sputzzy, c'est toujours la même chose.

Vous reposez le gobelin, les yeux écarquillés. Mais de quoi parlent ils, vous demandez vous tant votre incompréhension est complète. Le gob vous regarde d'un air franchement moqueur avant de balancer d'un air entendu "Ca mon gars, c'est l'Solstheim qui ramène ses pirates à l'auberge. L'a toujours ce brouillard autour de lui."

En effet, après que le soleil ait été occulté par une brume épaisse et sordide, la silhouette élancée d'une goélette à la voilure sombre se dessine dans la baie de Ratchet. Cette coque en bois grisâtre, fine comme une épée, bordée de chaque coté d'une seizaine de canons, vous évoque bien vite des tas de légendes de marins. Oui, c'est bien ce navire qu'on dit habité par le démon, ce sont bien ces pirates qu'on dit transportés par un vent magique obscur.

Le gob, finissant d'enregistrer la cargaison d'un petit navire commerçant, vous adresse un regard.

- "Tu veux en savoir plus sur cette merveille, l'ami ? Si t'as une heure devant toi, et de quoi payer à boire à un type dans mon genre, je te raconterai ce que j'en sais au Lotus.
- Ben… ouais, j'suis pas pressé, m'sieur Fff..Fitzmak?
- Fitzback, p'tit gars, mais dans quelques bières tu pourras m'appeler comme tu voudras."

L'auberge est calme, en ce milieu d'après midi. Il y traine un vieille odeur de cigare froid, et quelques écumeurs de tavernes du Solstheim y sont installés. Apparemment, il ne faut pas beaucoup de ces gars pour faire un capharnaüm de tous les diables.

Le gobelin se fait apporter deux bières et un rhum, indiquant d'un doigt et d'un clin d'œil que c'est vous qui régalez aujourd'hui. Vu le hochement de tête de la serveuse, c'est sûrement pas la première fois qu'il vient raconter cette histoire. Il entame son récit après avoir englouti son rhum d'une traite et demandé de manière évasive "Tu prends rien?".

- "On en raconte des choses sur cette beauté frigide… Figure toi qu'elle a été découverte sur une île, sans équipage, par les Pirates de la Confrérie. Une certaine Adéliana et son second, Redcloud, s'en sont emparés il y a presque un an."

Il finit sa première bière, en commande une autre, et attaque la seconde.
- "Le Capitaine Adéliana a recruté bien vite un équipage, et a commencé à piller tout ce qui passait à portée de la frégate. Ce raffiot là, l'ami, c't'une perle. Même sans vent, il est plus rapide que n'importe quel navire. J'suis jamais monté d'ssus, et faudrait m'payer bien plus d'alcool que tu n'pourras en amasser dans toute ta vie pour que j'ose y mettre un pied. Il y souffle un mistral pas naturel, tu vois. Son brouillard le suit partout, à moins que ce ne soit lui qui suive le brouillard. Si t'es marin, et que d'un coup t'y vois plus rien en mer, prie pour que ton capitaine ait la présence d'esprit de commencer à sortir sa cargaison, sinon tu finiras avec des poissons qui t'boufferont les yeux. Le Solstheim, c'est pas un de ces navires de guerre, lourds et patauds. A un moment tu le vois à bâbord, la minute d'après t'as ton tribord qui craque sous ses canons. J'ai connu un type une fois qu'avait été abordé. Il a pas fait long feu. Il s'est jeté d'une falaise un jour d'orage, comme si il avait eu peur que ce soit l'Solst qui attaque Durotar."

La serveuse lui apporte sa mousseuse, et sur une injonction part en chercher une autre. Bientôt il faudra deux filles du Lotus pour votre gobelin seul.
- "Comme j'te l'ai dit, c'est la goélette la plus rapide que les mers aient jamais portée. Elle va deux fois plus vite qu'un bâtiment de guerre, et si son armement est léger, ses artilleurs sont parmi les meilleurs. Des pros du démâtage. Et les navigateurs arrivent toujours à rester dans l'angle mort pour pas prendre de boulets. Ca ferait pleurer plus d'un tacticien de Kul Tiras ! Mais ce qui fait jaser les marins d'eaux douces, c'est pas tant ses prouesses martiales."

Le liquide doré coule dans une gorge bordée de verdâtre. Heureusement, la serveuse est une vraie professionnelle, elle ramène à ce Fitzkêkchose une autre tournée houblonnière. Le gob, maintenant passablement saoul, peste contre la bière et réclame du rhum, du vrai. Il éructe avant de poursuivre, dans une atmosphère conséquemment empestée.

- "Nan, c'pas pour ses tours d'abordage qu'on craint le Solstheim. Ce qu'on raconte à son sujet est plutôt pas banal. En fait on sait pas grand-chose, hein, mais moi j'te dis un truc. A ton avis, pourquoi y'a cette brume noire autour de lui tout le temps ? C'que j'en dis, moi mon gars c'est qu'ce fichu navire est hanté, ou possédé, 'fin tu vois l'genre. Quand on y r'pense, y'a pas un capitaine qu'a fait long feu et qu'a bien fini. Adéliana, là, ben elle a fait tellement de coups tordus à tout l'monde qu'elle a été bannie de la Confrérie des Pirates. Et pourtant des raclures ils en ont, hein ! Y'a qu'à r'garder l'Buffle, là, Gorg. Si ce gars là c'est pas un danger public… Pff… Pis l'autre capitaine, celui qui fait des trucs avec des murlocks… Tout ça pour dire, elle a vraiment du déraper sévère, la capitaine. Après elle, son second a disparu. Un autre gars est dev'nu capitaine, un certain Liane. Un gars bien, hein, on pensait que le Solstheim allait enfin devenir plus paisible avec lui. Ben il est parti bien vite aussi. Aujourd'hui, c'est le capitaine Belletrogne qu'est à la tête du Solst. 'fin on raconte qu'il lui arrive des trucs bizarres. Mais moi j'dis tout haut c'que les gens pensent tout bas, les capitaines de ce navire sont maudits ! Ouais mon gars !"

Le rhum s'engouffre d'un coup dans la gorge du gobelin dans un bruit de siphon. Il commence à avoir du mal à articuler.

- "Maudits ouais ! Tout c'raffiot est maudit ! T'sais qu'j'fais des rêves des fois… 'fin des cauch… cauchemars. Qu'jle vois qui m'tourne autour, avec ses canons là, pis j'sais jamais où qu'il est et il m'aborde comme ça, PAF !"

Le gob frappe sa paume avec son poing, et commence à vaciller dangereusement.


- "Et ils recrutent, maintenant mon p'tit ! Me d'mande pas qui qu'y va aller poser son baluchon chez eux ! En tous cas moi, j'préfère de loin mon ponton et mon auberge, héhé ! Les filles ! Encore à boire bougre d'… "

Fitzback, réceptionneur de marchandises du Cartel Gentepression, s'endort, visiblement transi par l'émotion. Les serveuses soupirent, le videur ramasse le corps en vous jetant un regard noir. Une orque s'approche de vous, l'air sévère.

- "C'est vous qui payez, hein?"

Mais… non, le ton ne ressemble pas à celui d'une question.




Le San Calico


(description réalisée par Lexdeus)

Le mort vous toise de haut en bas.

T'veux que j'te parle du San Calico l'ami? Vaut mieux qu't'ais l'coeur accroché! C'est pas une histoire que beaucoup iront t'raconter!

Chaque foi qu'un bateau disparaît sans laisser de trace, on l'déclare perdu... Mais les vieux loups d'mer l'ami, eux ils savent. Ils l'avoueront jamais mais quand ils sont entre eux ils rajoutent le nom du bateau sur la liste des victimes du San Calico. Va pas t'imaginer qu'c'est des histoires de bonne femme! Quand les marins de ce bateau débarquent quelque part, faut s'attendre à compter les morts.

C'est pas un rafiot ordinaire l'ami! Lui il navigue sous l'eau! Sa proue ornée d'un succube en or terrifie les équipages qui la voient émerger des flots. L'histoire du navire est encore assez flou. On dit son équipage maudit et atteint d'une folie sanguinaire qui le pousse à attaquer sans relâche et sans distinction tout navire passant à sa portée.

Saignant régulièrement des régions entières afin d'assouvir leur soif de richesse, les marins du San Calico n'hésitent pas non plus à investir les villes les plus fortifiées afin d'y semer la peur, la mort et la maladie.

Tu vois l'ami, si tu veux dev'nir l'un des leurs va falloir montrer qu'tu sais t'battre et qu't'as pas peur de mettre les mains dans le sang pour assouvir ta soif de richesse et de gloire! Attend toi à partir souvent au front, à arpenter des régions entières, à combattre partout!

Le San Calico recrute des matelots qui n'ont plus rien à perdre! Si t'veux avoir un grade élevé dans l'armée de la Horde c'est pas chez eux qu'il faut venir! Ils travaillent pas pour Thrall et ses sbires! Ils font pas de distinction entre civil ou militaire! Tous rapporte de l'argent pour eux!

Alors toujours intéressé? T'veux toujours les rejoindre? Descendre en Enfer et y vivre dans la richesse et la luxure?


Le Mort vous tend un parchemin.
Met ta marque en bas de c'te page l'ami! Si tu reste vivant suffisamment longtemps t'arriveras peut être à te tailler la part du lion! Mais méfie toi si tu décide de r'gagner le plancher des vaches! Leurs assassins se cachent dans tous les ports et la liste des disparu s'est allongée...
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neithan

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MessageSujet: Re: Description détaillée des navires de la confrérie   Description détaillée des navires de la confrérie Empty13.02.07 22:20

Le Brume Funeste

Description détaillée des navires de la confrérie Brume210


Explorer de nouveaux mondes étranges, découvrir de nouvelles vies, d'autres civilisations et au mépris du danger, reculer l'impossible. Voyager dans des contrées exotiques, rencontrer des gens intéressants, leur piller la gueule et s’ils résistent, les tuer. Telle est la mission du Brume Funeste.

I Présentation Générale

Le Brume Funeste est un aérostat dirigeable à structure rigide de type « zeppelin » entièrement reconstruit par la Manufacture Industrielle des Gobelins Hoverspeck autour du vaisseau initialement commandé par les Capitaine Karsht et Gratpoil. Il s’agit d’une plate forme mobile d’intervention tactique hautement versatile et ses missions peuvent inclure tout ce qui requiert rapidité discrétion et puissance de feu. A titre non exhaustif le Brume peut être déployé pour assurer la débarquement de troupes au sol, le bombardement de soutient, l’assaut aérien, l’infiltration et l’exfiltration, l’exploration ou encore le sauvetage. C’est d’ailleurs dans ce type de mission que s’est illustré son équipage pour la première sortie opérationnelle du Brume réarmé, l’intégralité de l’équipage présent à bord du Fenrir au moment de sa disparition mystérieuse ayant pu être secouru à temps grâce à la présence rapide sur zone du zeppelin et de la coordination sans faille à la manœuvre de son équipage.

Le Brume Funeste est un concentré de technologies parfaitement maîtrisées. Sa construction fait appel au meilleur des techniques Gobeline et Gnomes, avec un apport appréciable, bien que non volontaire d’une source d’énergie dérobée aux Gardien d’Uldaman qui constitue aujourd’hui le cœur de la motorisation du Zeppelin. Bien qu’il s’agisse d’un vaisseau de combat , tout est fait à bord pour garantir un certain confort de vie à l’équipage grâce à l’automatisation de certaines tâches, un mess spacieux doté des derniers raffinements en matière de cuisine et un système interne de buanderie permettant de disposer d’un linge frais, propre et repassé, même au cœur du combat.

Description détaillée des navires de la confrérie Cabine10
Poste de pilotage annexe

Les zones de vie du Brume sont organisées autour de trois ponts situés à l’intérieur de la structure et des deux nacelles de pilotage situées à la poupe et à la proue. Les structures internes contiennent la plupart des postes de combat, les quartiers des matelots et officiers, plusieurs zones de stockage ainsi que trois laboratoires qui permettent au Brume Funeste d’assurer de façon autonome la partie scientifique de ses attributions. Le détail des aménagements étant classifié, il n’est révélé qu’à l’équipage et à certains membres de la Confrérie sur le base du « Besoin de connaître » à la discrétion exclusive du Capitaine.

II Armement :

Armement de proue :
* Rostre d’abordage escamotable
* Deux Rayons Mortels de Taille Inhabituelle ( RMGTI ). Le principe du RMTI associe la puissance dévastatrice du Rayon Mortel portatif avec la souplesse tactique de la T.U.G (Télécommande universelle gnome). A basse intensité, le RMGTI peut tenter de prendre le contrôle d’une structure électromécanique. En utilisation normale, ces canons propulsent deux boules d’énergies capable de neutraliser tout type de moteur et d’infliger de graves brûlures à des structures organiques. En mode surcharge le RMGTI induit au niveau sub atomique une réaction en chaîne capable e pulvériser à peu prêt n’importe quoi au pris d’une préparation de tir assez longue et d’une immobilisation totale du Brume pendant environ dix minutes, temps nécessaire à la recharge et au refroidissement des systèmes de production d’énergie fortement sollicités par cette manœuvre.

Description détaillée des navires de la confrérie Rayon_10
Schéma de principe du RMGTI


* Un lance torpille équipé du dernier modèle de torpille gobelines au Khorium appauvri. Ces projectiles associés à une charge explosive à base d’hydroglicérine stabilisée sont en mesure de percer tous les blindages connus. Il est rappelé à l’attention de l’équipage que la stabilité de l’hydroglicérine étant toute relative ces torpilles sont à manipuler avec la plus extrême précaution.



Armement Latéral :
*Les bordées bâbord et tribord sont constituées chacune de dix canons de 75mm sous coupole. Chaque pièce d’artillerie dispose d’un angle de tir de 160° dans toutes les directions et peut être approvisionnée en munitions explosives ou anti blindage en fonction des circonstances ce qui les rend apte à tous les type de combat : bombardement, abordage ou défense anti aérienne. Chaque bordée peut éventuellement être commandée de façon semi automatique depuis les postes de pilotage au prix d’un moins grande cadence de tir, 10 coups par minutes en mode asservi contre trente avec des canonniers aguerris à la manœuvre..

Description détaillée des navires de la confrérie Brume_10 Description détaillée des navires de la confrérie Chambr10
Canon et intérieur de la chambre de tir


Armement de poupe :
*Un lance torpille du même modèle que celui situé à la proue.
*Un Lance Filet destiné à la capture et au remorquage, pouvant également être utilisé pour dissuader de manière non létale un éventuel poursuivant.

Description détaillée des navires de la confrérie Lance_10
Lance Filet

Armements annexes : La partie inférieure du fuselage du Brume est constituée d’une vaste plate forme amovible capable d’être ouverte en vol jusqu’à environ la moitié de la vitesse opérationnelle. Cette plate forme peut servir de pont d’envol pour les deux avions nains d’attaque au sol arraisonnés par le Quartier Maitre Klow à Ironforge. La trappe peut également servir de soute de bombardement sous réserve de l’emport préalable des munitions appropriées.


III L’Equipage.

La vie à bord du Brume est exigeante. Un vaisseau de haute technologie ne se manœuvre pas comme la première barcasse à pagaies venues et il est indispensable que l’équipage se plie à une discipline de bord bien plus rigoureuse que sur n’importe quel autre navire de la flotte. Cet aspect est renforcé par le passé militaire d’une partie de ses officiers, passé avec lequel certains ont du mal à se départir, certaines vielles habitudes étant ancrées pour longtemps.

Le corollaire de cette exigence est un traitement équitable de tous le personnel navigant. Sur le Brume tout ce qui sait se battre et obéir à un ordre est le bienvenu. Il n’y est toléré aucune forme de discrimination fondée sur le sexe ou l’appartenance raciale. Tout mousse entrant dans la carrière possède sa chance d’accéder à un poste d’officier pourvu qu’il en révèle la capacité.

Si l'équipage du Brume Funeste excelle dans toutes les techniques de combat la doctrine d'ouverture du feu à bord privilégie l'intelligence tactique et l'assaut éclair à des formes plus "primitives" d'engagement. La meiileure arme du vaisseau demeure la capacité de ses matelots à mobililiser sa matière grise au moment crucial.

A ce titre le Brume est le seul navire de la Confrérie disposant d'une équipe scientifique de haut niveau capable de tenir l'éprouvette aussi adroitement que la rapière. Actuellemnt, deux des trois laboratoires du Brume sont attribués, le Labo n°2 destiné aux recherches en xénogreffes et drones biomécaniques de Phobos Noirdestin, l'Ingénierie, domaine de Shynn, prouve qu'on ne se méfie jamais assez d'une orque avec une clef à molette et un fouet.


Dernière édition par Neithan le 28.02.08 10:38, édité 2 fois
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klow




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Date d'inscription : 19/08/2006

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MessageSujet: Re: Description détaillée des navires de la confrérie   Description détaillée des navires de la confrérie Empty24.10.07 18:36

Le Fehlonn

Description détaillée des navires de la confrérie Fehlonneq0

Des cris indistincts, des bruits de canons incroyablement puissants et un long hurlement de dragon et une balise de détresse tirait dans le ciel …
Voilà ce qui avait attiré cet homme vers les falaises depuis son campement en pleine nuit.

Le spectacle qu’il découvrit, fut au-delà de ce qu’il croyait découvrir.
Un bateau de commerce était poursuivi par un étrange navire. Intriguait l’homme observa longuement ce dernier navire.
Dans le squelette d’un dragon gigantesque, on avait construit un navire tout aussi grand. La tête du dragon faisait office de proue mais deux flammes brûlaient dans les orbites du crâne comme pour remplacer les yeux perdus de la créature. Les pattes et les ailes étaient repliées sur la coque du bâtiment, et la queue reposait comme barrière sur un côté du navire.
Miroitant sous la lumière de la lune, des veines parcourraient tout les os. Au sommet de son mât, claquait au vent le drapeau noir à tête de mort, si connu et craint des marchands. Dans son sillage, me navire laissait une longue traînée de poussière orange, qui à l’odeur portait par les vents aux narines de l’homme embusquait, semblait être du silithyste.

Le navire pirate prenait grand soin de rester derrière sa proie, même si il s’en trouvait fort loin. Régulièrement, l’homme le vit avec grande peine, un énorme canon dissimulait habilement dans la bouche du crâne de dragon tirait non loin des côtés du navire pour le dissuader de virer de bord. Ebahi, l’homme regardait les boulets volaient avec précision sur une distance que aucuns des canons qu’il avait vu tiré à ce jour avait réussi à parcourir, le crâne bougeant légèrement pour conserver un angle de tir idéal. Comme si le squelette de dragon faisait toute la manœuvre de tir, l’équipage le laissant faire.
Inexorablement le navire pirate s’approcha du bateau de commerce. Arrivait à environ 400 mètres du bateau marchand, le crâne ouvrit de nouveau sa gueule comme pour faire feu. Mais à la place du coup de canon attendu, deux longues traînées de poussières noires en sortirent pour former un nuage autour du navire.

Le spectateur observa l’équipage du bateau marchand, pliait en deux, toussant à cause de la poussière. Sur le navire pirate il vit un tauren s’emparait d’un porte-voix.

- "Une seule étincelle, un seul tir de vos canons, et le nuage dans lequel vous êtes explosera en s’enflammant, réduisant vous et votre navire en cendres. Maintenant affaisser vos voiles et jeter l’ancre, sinon je fais feu et vous fais sauter moi-même."

Obéissant le bateau s’immobilisa. Le navire pirate se positionnant de travers, toutes ses sabords ouverts et les canons pointés. A sa surprise, l’homme qui croyait les pattes du dragon sur les flancs comme des décorations les vit bouger et aider l’équipage pirate à mettre un canot de bonne taille à la mer, celui-ci s’approcha du navire marchand et fut chargeait de l’or et des possessions de valeurs transportés. Puis le capitaine marchand descendit dans la barque tenue en joue par les pirates et la barque retourna vers le navire-dragon, où à nouveau les pattes du squelette montèrent la barque à bord.

Le capitaine prisonnier fut enchaîné et entraîné, avec respect néanmoins à la surprise du spectateur, dans le château de poupe du navire, pendant que le reste de l’équipage était occupé à décharger le contenu de la barque dans le navire par l’écoutille central du pont.

Un léger bourdonnements se fit alors entendre, et un gyrocoptère passa en trombe au dessus de l’homme cachait sur la falaise avant de piquer vers le navire pirate.
Rapidement repéré, plusieurs pirates coururent vers des bâches, qui une fois enlevés, dévoilèrent plusieurs gangrecanons de format plus petits que leurs cousins d’outreterre.
Le gyrocoptère fut littéralement arrosé de tirs pour se transformer en une forme indistincte en feu, qui mourut dans un grand éclaboussement d’eau de mer.
Le tauren au porte-voix qui semblait le capitaine, réapparu sur le pont juste à temps pour voir la carcasse de l’engin volant coulait vers les fonds marins.
Après quelques gestes à l’équipage accompagnaient d’ordres, la barque fut rapidement amarrée, les gangrecanons recouverts de nouveau par leurs bâches et les pirates se mirent à effectuer les manœuvres de départ, sous les regards médusés et impuissant de l’équipage marchand prisonnier du nuage de poussière noir.
Les ailes du dragon se déployèrent alors vers le ciel, formant deux voiles sur les côtés du navire. La membrane des ailes disparues depuis longtemps était remplacée par des voiles en étoffes lunaires, sans doute enchanté car le navire sembla gagné de plus en plus de vitesse pour disparaître rapidement vers la haute mer.

L’homme resta encore un long moment allongé au sommet de la falaise, observant la mer dans la direction où l’étrange navire était parti. Et quand les navires de guerre de l’alliance arrivèrent, hélas trop tard, au secours du bateau marchand ; l’homme reparti vers son campement en ne sachant plus si il était réveillé ou si tout ce spectacle n’avait été qu’un rêve.
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